Sauveteur ou sauvé ? ( Pv Tari )

Cela allait faire plusieurs semaines que j'avais été sauvé en quelques sortes par la chevalière Tari d'Irianeth, lors d'une bataille sanglante contre des guerriers d'Enkidiev et depuis ce jour il ne pouvait plus l'oublier il l'avait dans le sang dans la peau il ne pouvait pas la zapper comme il l'aurait fait pour plusieurs filles qui le trouvaient assez joli, a vrai dire il n'avait pas honte de lui, il était assez musclé, il se trouvait beau mais pas plus qu'un autre, mais apparemment les filles qui lui tournaient autour n'étaient pas de son avis. Il se battait contre ces collègues qui avaient les mêmes capacités que lui, bien qu'il fut un peu plus forts qu'eux au niveau technique et agilité, par contre ce fut la force qui lui fit défaut, car la force il manquait contre ces collègues qui eux travaillaient leurs bras moi je travaillais le tout et cela avait du bon comme du mauvais et ce mauvais se ressentait dans les combats qui leur servait d'entrainement.

Je marchais dans les couloirs après mon entrainement et avoir gagné contre chacun de mes collègues, je ne faisait pas attention ou je marchais de toute façon je ne pouvais pas tomber sur des gens plus haut gradés car els chevaliers sont habituellements en entrainement, et l'empereur était parti en mission sur Enkidiev pour faire on ne sait quoi encore, mais cela ne nous regardait pas, il faisait ce qu'il voulait. je marchais alors et me cogna contre quelqu'un j tombais sur le sol, cart la personne avait une force hors du commun, je relevais la tête et vis la personne qui m'avait sauvée, je mis alors instantanément un genou au sol et m'excusa.

- Excusez moi pour cette impolitesse chevalière ne me punissez pas je vous en prie...

La bataille s’était fini et dès lors la routine ennuyeuse d’Irianeth avait repris son petit monde au grand malheur de la jeune déesse qui s’ennuyait comme jamais. Elle n’avait cessée de s’entrainer avec chacun de ses pouvoirs, avec ses armes qui était affuté à l’extrême près à tranche un doigt ou autre chose si elle pose sa lame. Les journées défilaient doucement et Tari s’absentait de plus en plus allant de plus en plus loin dans ses petits voyages, tout en passant inconnu. Elle avait visite chaque recoin de l’île des lézards et aujourd’hui elle revenait de l’île des araignes, ou le silence et discrétion avait été le maître mot.

Tari venait de réapparu dans un coin sombre de l’immense château de l’empereur noir, dans sa robe noir légère. Celle-ci était fendu sur les deux côtés dévoilant les jambes élances de la déesse et lui permettant de se déplace rapidement sans être gêné ainsi que se battre si besoin mais, ce petit détaille était vite oublié si on apercevait un dévolté très généreux. Malgré le peu de tissus sur elle, on pouvait trouver plusieurs arme cache sur elle. Comme toute rose, elle avait ses piquants aiguisés. Alors qu’elle marchait pied nu sur le sol froid du château quelqu’un la percuta. Elle ne bougea pas d’un cil comme si rien n’était mais, son regard se fit sanglant et son esprit imaginait mille tortures pour s’amuser un peu et faire passe le temps. Elle entendit alors la voix d’un soldat qui avait déjà croisé son chemin il y a quelques mois. Un sourire charmeur se fit naitre sur ses lèvres et elle lui répondit :

-Hum comment pourrais-je abimé un corps comme le tien…

La femme chevalier se pencha légèrement faisant découvrir encore plus un décolletée plongeant et redressa le visage du jeune homme du bout des doigts. Comment se nommait-t-il déjà ? Le soldat qui avait cru prendre une attaque à sa place alors que son bouclier d’énergie l’aurait très bien arrête mais, si cela lui plaisait de croire qu’il avait sauvé un chevalier alors soit. Jerae voila comment il s’appelait ! Dans une voix sensuelle, elle reprit la parole et mit toute la luxure dans le premier mot :

-Jerae. Tu as de très grande capacité… Il suffit simplement de les dévoiles et de servir de tout ce que tu as en ta possession pour ne plus avoir cette position de soumis même si tu es très plaisant comme cela.

Tari l’avait légèrement redresse et elle s’amuse à faire glisse sa main dans une caresse à faire éveillé de nombreuse envie dans le corps du soldat.

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