De grès ou de force....partie 2

-Mélérina

Un beau prénom pour une si belle femme. Il la tenait par le bras fermement pour ne pas qu'elle puisse senvoler grâce à ses ailes. De toutes façon elle ne pourrait pas aller loin. Ils remontèrent tout les escaliers, toujours en la tenant fermement. Dès qu'il voyait quelqu'un de sa cour il dessera sa main de son bras. Ils montérent ensuite lentement pour ne pas atiré l'attention sur eux. Même si ces soldats savaient tous, ils ne diraient rien peur de perdre la vie d'un claquement de doigt. Ils arrivérent dans la chambre, une piéce immense et spacieux. Un lit gigantesque, des coussin un peu partout de couleurs rouge, poser sur des draps noirs. Au fond de la piéce se trouve une double porte qui donne à la salle d'eau privé. Une immense piscine avec des jets. Il la lacha quand ils passérent la porte.

- Ici c'est la chambre, là bas la salle d'eau privé.

Maintenant il avait trouvé son épouse, même si celle la ne voulait pas. Elle allait surement ce plaire ici de toute façon elle n'avait pas le choix. Argawaen enleva sa veste noir, il était maintenant en maillot qui couvrai ses épaules et non ses bras. Il enleva ensuite son maillot, cela donna vu à son tatouage qui couvrai tout le dos, Il était épuisé par tout ce qu'il avait fait pendant son voyage, même si il ne voualit pas l'admettre.

- Fait comme chez toi, après tout c'est ici que tu va vivre désormais.

Mélérina se demandait bien ou il pouvait l'enmener, étrangement quand ils croisaient des personnes l'empereur noir déserait son étreinte douloureuse. Ils arrivèrent devant une grande double porte. Lorsqu'ils les passèrent les portes Argawaen la relacha. La pièce était spacieuse un grand lit trônait au milieu de la pièce, des coussins rouges étaient disposés sur des draps noirs. Mélérina n'avait qu'une envi se blotir dans se lit et dormir. Mais elle ne pouvait pas. Elle n'avait pas confiance en Argawaen.

- Ici c'est la chambre, là bas la salle d'eau privé.
Il lui montra une grande porte au fond de la pièce. Une salle d'eau privé. Mélérina rêvait d'un bon bain. Elle portait ses vêtements depuis son enlevement au royaume d'Argent et de plus sa robe était couverte du sang de Luanne.

Elle vit Argawaen enlever sa veste et elle recula contre le mur inquiète de se qu'il avait l'intention de faire. Il se retrouva en T-shirt qui recouvrait son torse et non ses bras, il était vraiment bien batit et Mélérina se senti rougir malgré elle. Elle tourna la tête afin qu'il ne remarque pas son trouble. Elle ne savait pas se qu'il étendait d'elle à cet instant et elle n'était pas rassuré.

- Fait comme chez toi, après tout c'est ici que tu va vivre désormais.

Mélérina était surprise faire comme chez elle? Elle était loin de se sentir chez elle ici, chez elle c'était au royaume d'argent avec ses parents. En pensant a eux les larmes lui montèrent. Elle ne répondit rien car elle ne savait pas quoi faire ni quoi dire. Elle était surtout inquiète de savoir ou elle allait dormir. Devrait-elle dormir dans le même lit que cet homme? Elle en avait bien l'impression mais elle espérait tout de même. Elle resta donc la sans rien dire contre le mur.

Elle resta là immobile au fond de la piéce, elle n'osa avancer. Cela est normale elle ne connait personne, ici ce n'était pas chez elle, mais elle devra ci faire c'est ainsi.Argawaen se retrouva torse nu, il parti en direction des bains et se dévêti, il y entra lentement et adossa sa tête sur le rebord. Il ferma les yeux quelques instant, laissant les douces vagues d'eau chaude le detendre. IL ferma les yeux et repensa à son enfance, à tous enfants qui lui en avait fait baver, maltraiter et frapper. Il savait quil avait de la force mais pour égare à sa mère il ne l'utila jamais et avait laisser ces imbéciles le taper. Il en voulait énormément à sa mère du mal qu'elle lui aviat fait même si peut-être elle regretter aujourd'hui, le mal est mal est ne pourra jamais être défait. Maintenant qu'il à tuer sa mère il ne sens pas soulager pour autant, certe il vait un poids en moins sur la conscien, car il c'était toujours jurer de la tuer elle est les siens. Il rouvrit les yeux, plusieurs minutes c'étaient ecoulé depuis, il sorti de leau et s'habilla en noir comme d4habitude. Il retourna dans sa chambre.

- Voilà les bains sont à toi, vas te laver tu fais pitié comme ça.

Il ne la regarda pas en face, mais regarda plutôt sont reflet dans le mirroir qui se trouva en face de lui. Argawaen ressenter des sentiments pour cette Mélérina, mais il devait former un mur devant ça pour ne pas les laisser sortir. Cela pourrait le rendre vulnérable et ça il ne le voulait en aucun cas.

Mélérina le regarda faire. Il finit par enlever son haut et se retrouva donc torse nue devant elle. Au royaume d'argent elle n'était pas du genre a regarder les hommes, lorsqu'elle en voyait un si peu vêtu c'était seulement dans le but de soigner une blessure et elle ne s'attardait pas sur se qui s'offrait à ses yeux, beaucoup trop absorbée par son travail de guerrisseuse. Mais cet homme n'avait pas de blessure et elle rougit en voyant le corp musclé de son "futur époux", elle frissonna à cette idée. Elle devrait pourtant bien s'y habituer car elle n'avait pas de solution pour partir, du moins pour le moment. Il était entrer dans la salle d'eau depuis un petit moment et Mélérina en profita pour explorer sa nouvelle chambre, il n'y avait qu'un lit et elle avait peur d'être obligé de dormir avec lui. Le lit était grand et elle pourrait facilement mettre une distance entre eux mais elle craignait surtout qu'il ne veuille la faire sienne définitivement en lui prenant sa première nuit. Elle carressa le dessus de lit puis se dirigea vers les meubles ou elle glissa ses mains pour toucher la matière. Elle trouvait cette chambre très belle en dehord du faites qu'elle appartenait à l'empereur. Elle était près du bureau lorsqu'il sorti de la salle d'eau, vêtu tout de noir il était impressionnant. Il s'adressa à elle se qui la fit sursauté.

- Voilà les bains sont à toi, vas te laver tu fais pitié comme ça.

Son moment de surprise passé elle se redressa fièrement et passa devant lui tout en plogeant bien son regard dans le sien. Puis elle ferma la porte avec le loquet pour être sur qu'il ne pourrait pas entrer lorsqu'elle serrait dans l'eau et s'adossa à la porte poussant un soupir. Il faisait bon dans cette pièce, l'umidité que l'eau chaud dégageait lui faisait le plus grand bien. Elle finit par enlever sa robe et se plongea dans l'eau bien chaude. Ce fut la première fois qu'elle se sentait à peux près bien depuis son enlêvement et elle se mit a pleurer évacuant toutes les tensions et douleurs moral qui s'était accumulé depuis sa rencontre avec l'Empereur.

Lorsqu'elle se fut enfin calmé elle entreprit de se laver les cheveux, puis elle se lava le corps pour se débarasser des saleté ainsi que du sang de Luanne. Elle se rinça et elle dut se résoudre,vraiment à contre coeur, a sortir de l'eau. Elle s'enroula dans une serviette bien chaude et soupira. Elle observa la pièce à la recherche de vêtements, évidement trop précer d'entrer dans l'eau elle n'avait pas fait attention qu'elle n'avait pas de vêtements de rechange. Elle avisa un tissu noir sur une chaise un peu plus loin et le prit il s'agissait d'une robe dos nu ( pour ses ailes) magnifique exepté la couleur... noir. Tout ce que la jeune femme adorait. Elle soupira, même la couleur de ses vêtements était sombre, elle se résigna et enfila la robe qui lui allait bien, cela au moin elle pouvait l'admettre mais son humeur se déteriorait et finit par devenir le reflet des couleurs qu'elle portait.

Elle brossa ensuite ses longs cheveux, ce qui ne fut pas une partit de plaisir étant donner les noeuds qu'il y avait. Lorsqu'elle fut enfin propre, habillé et coiffé elle soupira pour se donner du courage et sortit de la salle d'eau. Elle se vit immédiatement dans le reflet du miroir qui était situé juste en face de la ou elle se trouvait. Elle trouva son reflet vraiment jolie mais ne se reconnue pas immédiatement. Elle tourna la tête et vit l'Empereur qui l'observait et le regarda avec une lueur de defit dans les yeux. Il était hors de question qu'elle le laisse gagné si facilement, elle aurait tout le temps de s'apitoyer sur son sort quand elle serrait seule.

Quand Melerina parti dans les bains privé, Argawaen alla s'allonger dans son lit essayant de detendre tout ses muscles. Argawaen à toujours eut du mal à trouver le sommeil et à faire de longue nuit, à faire la grasse matinée. Le manque de sommeil commença à ce voir sur lui, notamment sous ses yeux. Il entendit souvent des cris strident dans sa tête, les cris d'une femme à la voix aigu. Il n'y prêta jamais attention. Argawaen perdu dans ses pensées entendit néanmoins le locket de la porte s'ouvrit et Melerina en sorti. Il se leva du lit pour faire face à elle, il la dévisagea du pied à la tête. Elle porta une magnifique robe noir dos nu surement une des robe d'une des maitresse de l'empereur, qu'elle avait dû oublier. Ces cheveux était parfaitemetn bien coifé en harmonie avec sa tenue vestimentaire. Argawaen s'approcha vers elle, il caressa ça joue d'un revers de main.

-Il se trouvait une belle jeune femme en dessous de cette crasse.

Argawaen alla embrasser sa dulciner quand tout à coup il entendit Frapper à la porte, il leva les yeux au ciel, hurla à la personne derriére la porte d'entrer. Il vit entrer une magnifique jeune femme entrer, il reconnu ses courbes c'était Tari, une des maitresse de Argawaen. Une maitresse qui compte ( ou compter ) beaucoup pour lui. Il lui fit un sourir et s'approcha d'elle.

Tari s’ennuyait de plus en plus, ses entrainements n’étaient que répétition et les petites balades qu’elle faisait à travers le monde ne lui donnent que quelques savoirs qui risquaient fort de lui être d’aucune utilité. Elle voulait du sang du combat mais, son sang d’oiseau la calme toujours avant de faire l’irréprochable. Alors qu’elle parcourait les longs couloirs noirs du château de l’empereur, elle entendit alors deux gardes royales parle tout bas. Sans faire de bruit, la femme chevalier s’approcha des deux hommes qui ne l’entendirent même pas. Cela aurait était si simple de les tuer et personne n’aurait remarqué la disparition des soldats pourtant en ce moment même s’était la discussion qui éveilla la curiosité de la jeune déesse.

-Non c’est je te le dit ! L’empereur à ramène quelqu’un, une fée ou un truc comme ça. Mais, pouahh il a mauvais gout, je préférai cette catin de cheval…

La jeune déesse décida d’intervenir à ce moment là en bousculant les deux soldats. Les deux hommes lâchèrent des jurons mais, ils s’interrompirent quand ils aperçurent la femme chevalier. Tous deux firent un profond salut, tout en s’excusant avant de file aussi vite que leur jambe pouvait. Tari poussé par la curiosité décida de monter voir l’empereur pour lui en demande d’avantage de renseignement au sujet de la femme qu’il avait ramene. Elle se dirigea d’un pas léger vers les appartements privé d’Argawaen.
Sa tenue était une robe d’une couleur foncé afin de ressortir sa peau blanche et celle-ci était fendu sur les deux côtés lui permettant de se déplace et de combattre si besoin mais laissant voir à qui voulait ses longues jambes élançaient. Peu de temps après, elle fut devant la porte de l’empereur. Elle frappa doucement et rentra à l’intérieur au même moment ou les paroles d’Argawaen résonnent dans l’air. Un sourire sur les lèvres, elle dit d’une voix neutre :

-Toujours aussi galant avec les femmes mon très cher empereur…

Tari posa rapidement son regard sur Argawaen enfin qu’elle pose son regard sur la fée. Une magnifique robe noir rendait sa peau blanche aussi luisante que la lune, ses ailes étaient simples magnifiques et les mots qui pouvait les décrire ne serait pas assez fort pour expliquer cela. La rumeur était vrai, il avait ramene une femme, une fée pour être précis mais, surtout une Enkidiev, car elle pouvait apercevoir de la douceur et de la peur dans ses yeux. La déesse ferma les yeux pour faire taire son sang de tigre qui se demandait quel gout avait le sang du fée avant de les ouvrir et de dire avec douceur :

-La rumeur est presque vrai, vous avez bien ramene quelqu’un au château mais, elle est plus belle que ce que l’on dit. Comment t’appelle tu ma petite fée ?

Mélérina vit l'Empereur s'approcher d'elle et elle se reteint de reculer. Il lui caressa doucement le visage et lui dit d'une voix qui la fit frémir.

-Il se trouvait une belle jeune femme en dessous de cette crasse.

Elle n'eut pas le temps de répondre au moment ou il allait pour l'embrasser quelqu'un frappa a la porte et entra au moment ou l'empereur hurla après cette personne. Elle sursauta malgré elle.

-Toujours aussi galant avec les femmes mon très cher empereur…

Une femme magnifique était entré elle portait une robe sombre magnifique et très sexy, Mélérina pensa immédiatement que c'était une habitude de porter se genre de vêtement et qu'avec la robe qu'elle portait elle ne détonnait pas avec les autres femmes. Elle avait une peau très blanche et des jambes sublimes. Mélérina se demanda qui elle était pour être aussi familière avec l'Empereur, Mélérina ressentit une énergie étrange qui provenait de cette femme. Mais elle n'osa pas bouger. Elle se demandait ce que cette femme voulait et si par chance elle arrivait a faire oublier sa présence quelques minutes se serait toujours un moment de répit pour elle. Mais à son grand désespoir la femme s'interessa plus à elle qu'à l'Empereur.

-La rumeur est presque vrai, vous avez bien ramene quelqu’un au château mais, elle est plus belle que ce que l’on dit. Comment t’appelle tu ma petite fée ?

Mélérina hésita un moment avant de répondre, elle ne savait pas si elle pouvait se fier à cette inconnue, de plus elle n'avait pas encore comprit la signification de cette énergie et son instinct lui indiquait de se méfier. Elle répondit tout de même par politesse, si elle réussissait à se faire une alliée peut être réussirait elle à retourner chez elle, auprès de ses parents.

- Mélérina.

Elle ne dit rien de plus attendant de voir la réaction de la jeune femme sublime qui se trouvait devant elle, peut être d'ailleur l'empereur la congédirait elle afin de passer un moment avec l'inconnue, elle espérait du moin ne pas subire les avance physique de " son futur époux" et si elle pouvait repousser aussi longtemps que possible se moment elle le ferait.

La jeune déesse continuait d’observe la fée qui ne devait pas être plus âgé qu’elle et une chose la surprise mais, elle ne laissa rien voir. L’Enkidiev n’avait aucune marque sur son corps ? Peut être que les traces et marques étaient en-dessous de la robe pourtant l’empereur s’enfichait des traces qu’il pouvait laisser derrière son passage. Un sourire se forma sur ses lèvres sans aucune raison apparente pourtant la femme chevalier se demanda si Argawaen n’avait pas un coup de cœur pour cette fée aussi fragile qu’un enfant. La curiosité fit son apparition dans l’esprit de Tari et l’idée de s’amuser l’empereur la motivé beaucoup. Elle écouta le prénom de la petite fée, d’une oreille discret en essayant de savoir comment elle pourrait en profiter. Elle dit alors d’une voix douce et chaude à l’empereur :

-Vous avez trouvé une magnifique compagne mon seigneur… J’espère qu’elle résistera aux ardeurs de vos serviteurs malgré sa fragilité.

Tari sourit doucement à la fée en question, elle était à son gout comme elle le serait pour le grand nombre d’homme du château. Il avait intérêt de la protège si il tenait réellement à elle, car elle serait dévore par la luxure et la haine dès qu’elle sortirait des appartements de l’empereur. La déesse se demanda même combien de temps il mettrait à remarque l’absence de Melerina si elle se faisait enlever. La femme chevalier fit une légère courbette à Argawaen et repris d’une voix mielleuse :

-Je pourrais l’aider à rester en vie Argawaen. Personne ne serait assez fou pour la toucher quand on sait que je m’en occupe… Ma réputation verrait fuir les plus peureux et les autres serviront d’exemple. Un ou deux exemples sanglants devraient les calmes ces males en chaleur.

Ses lèvres laissent apercevoir ses dents blanches comme la neige et un sourire féroce firent briller les yeux de la déesse alors que son cœur battait la chamade en sentant déjà le sang de ces misérables hommes sur ses mains. Tari se tourna alors vers la petite fée, elle posa son regard dans le sien et lui dit d’une voix douce et agréable:

-Qu’en penses-tu Mélérina ? Préfère tu reste à jamais ici enferme en ces quatre murs luxueux ou découvrir se qui t’entoure, les paysages impressionnants et les merveilles de ce continent ?

Argawaen regarda la rencontre entre sa futur femme, et sa maitresse.

-Je pourrais l’aider à rester en vie Argawaen. Personne ne serait assez fou pour la toucher quand on sait que je m’en occupe… Ma réputation verrait fuir les plus peureux et les autres serviront d’exemple. Un ou deux exemples sanglants devraient les calmes ces males en chaleur.

Il est vrai que tous les hommes dans ce chateau n'ose pas se frotter à Tari, à cause de son caractére bien tremper. Un caractére qui avait plût à l'empereur, pour cela qui en avait fait sa maitresse favorite. D'ailleurs il ne compterai pas arrêter de voir Tari parce qu'il allait se marié, en tout cas pour le moment. Il regarda Tari, elle n'avait pas tout à fait tort, à peine le dos tourner que tous ces fous s'en prendrai à elle. Il avait de sincére sentiment pour cette fée, mais jamais il ne lui montrerai devant son peuple.

- Très bien, je te la met sous ta garde. Fais ce que tu veux avec elle. Ne laisse personne s'en approcher, si cela se produit tu pourras tuer qui bon de semble.

Il est vrai qu'il vaut mieux qu'elle sorte que de rester enfermer dans une chambre luxueuse certes mais cela reste quand même une piéce à 4 murs avec une porte et un verrou derriére. Et puis ce continent n'est pas une horreur il y a de beau paysage à voir aussi. Il prit Tari à part:

- Ne fais pas n'importe quoi avec elle, essaye de convertir son esprits, j'ais besoin d'une femme qui à les même idéologie que moi. Si tu y arrive tu seras très bien récompensé. Et bien sûr ce n'est pas parce que j'ais cette fée que tu ne viendra pas me rejoindre quand j'en aurais envie. Lui dit-il en lui effleurant le bas du dos.

Il regarda avec envie les deux femmes, elles avaient toute deux de magnifique robes qui mettait leur forme généreuse en valeur. Argawaen c'était vêti d'une chemise très ouverte sur le devant de couleur noir. Il alla vers Melerine et se positionna derriére elle ses mains sur ces hanches.

- A toi de choisir Melerina, veux-tu ? A part rentrer chez toi bien sûr. Tu as de la chance que ma charmante Tari soit gentille ce soir. Et puis bien sûr tu ne restera pas ici à rien faire, tu aidera en cuisine, et tu aidera Tari bien sûr.

-Je pourrais l’aider à rester en vie Argawaen. Personne ne serait assez fou pour la toucher quand on sait que je m’en occupe… Ma réputation verrait fuir les plus peureux et les autres serviront d’exemple. Un ou deux exemples sanglants devraient les calmes ces males en chaleur.

Mélérina était effrayer par cette femme et quelques part elle espérait que l'Empereur Noir refuserai la proposition de cette femme. Mélérina avait la dangereuse impression qu'elle voulait la manger et le faites de se retrouver seule la plupart du temps avec elle ne la rassurai pas elle préférait encore rester avec l'Empereur ou meme enfermer entre ses quatres murs.

- Très bien, je te la met sous ta garde. Fais ce que tu veux avec elle. Ne laisse personne s'en approcher, si cela se produit tu pourras tuer qui bon de semble.

Mélérina cru que sa dernière heure était arriver, elle allait passer tout son temps avec cette femme sanguinaire. Le coeur de la jeune femme se mit a battre la chamade et il tambourinait à ses oreilles. Elle vit ensuite Argawaen prendre la jeune femme apart et lui parlant en effleurant le bas de son dos, geste qui n'échappa pas au regard de la jeune fée. Il y avait donc quelque chose entre l'Empereur et cette femme. Puis l'empereur revint vers elle et tout en se placant derière elle il posa ses mains sur les hanches de la fée.

- A toi de choisir Melerina, veux-tu ? A part rentrer chez toi bien sûr. Tu as de la chance que ma charmante Tari soit gentille ce soir. Et puis bien sûr tu ne restera pas ici à rien faire, tu aidera en cuisine, et tu aidera Tari bien sûr.

Mélérina hésitait elle n'avait pas envi de rester avec Argawaen mais encore moin d'etre seule avec cette Tari. Elle soupira, la tête lui tourna mais elle devait rester forte. Elle fut tout de même soulager de sentir que quelqu'un était derrière elle. Elle fut décu de l'admettre mais elle se sentait tout de même en sécurité avec cet homme.

- Je vous remercie de cette proposition mais je ne compte pas sortir de cette pièce. Sans vouloir vous offensez votre monde ne m'interesse pas et le seule lieu que j'ai envi de voir est ma maison ou mes parents m'attendent.

Elle esperait qu'ils allaient sortir et la laisser seule mais elle ne comptait pas trop la dessus. Elle attendit donc de voir la reaction de ses deux enemis face a son refus

Tari observait encore la fée pendant que l’empereur réfléchissait à sa proposition et sa réponse ne tarda pas les secondes d’après. La femme chevalier posa alors ses yeux sur Argawaen et lui fait une petite référence et un doux sourire apparut sur ses lèvres quand il lui dit qu’elle pouvait tuer qui bon lui semblait si sa mettait la vie de Mélérina en jeu. Elle avait bien fait de venir dans les appartements du dirigeant d’Irianeth. Puis peu de temps après, l’empereur l’emmena à l’écart pour lui parlée seul à seul, ce qui ne l’étonna pas du tout… Une fois qu’il eu fini, elle lui dit à voix basse :

-Je ferrais de mon mieux pour la petite fée. Humm dure de se passe de moi mon empereur.

La jeune déesse observa Argawaen se mettre derrière Mélérina et écouta une nouvelle fois ses paroles tout en posant son regard encore sur la l’Enkidiev. Gentille ? Hum oui mais, si cela allait dans son sens sinon s’était au risque et péril pour la personne. Tari était de bonne humeur. La femme chevalier senti son sang de tigresse accélère quand la fée s’apeuré de plus en plus, s’était comme un lapin face à un loup et chaque battement de cœur du lapin donnait une énergie inépuisable au loup. Elle ferma les yeux pour être sur de bien se contrôle et non se laisse pousse par son envie et lui dit après quelques instants en posant son regard sur elle :

-Tu n’as pas vraiment le choix Mélérina, si tu ne te fais pas connaitre par les autres, tu ne passeras pas l’année. Ils trouveront de multitude de façon de t’atteindre, par ton ancien royaume, ta famille ou tous ce qui pourrais te plaire. Alors même un repas serait pour toi un véritable danger…

La femme chevalier se tourna et fit quelques pas vers la porte avant de reprendre une nouvelle fois la parole d’une voix lasse mais, toujours aussi douce.

-D’habitude, je suis dans ceux qui s’amuse à tuer le plus rapidement ceux qui sont enlever d’Enkidiev et je suis sacrément doué ! Je ne propose JAMAIS mes services ma petite fée, comme l’empereur le dit je suis gentille… Profites-en pour ta survie ma belle, sinon tant pis pour toi.

Tari se retourna légèrement pour plonger profondément son regard rouge et bleu dans celui de Mélérina pour montre qu’elle ne plaisantait pas.

Argawaen ce tenait derriére Melerina, elle ne voulait pas accepter le deal, elle préférée la mort qu'a la vie. Mais pour lui ce n'était pas possible, il fallait qu'elle reste en vie, si il la ramenner ici c'est pour en faire sa femme, et même si il ne l'avourai jamais il avait des sentiments pour elle, même si il essaye de le cacher tant bien que mal. Il serra ses mains autour de la taille de Melerina:

-Tu n'as pas le choix malheureusement, soit tu accepte et tout iras bien pour toi soit tu n'accepte pas et je te tue immédiatement. Cela ne sert à rien de faire languire la mort, qu'elle vienne te chercher dans quelques jours ou mainteannt cela reviens au même, elle t'auras.

D’habitude, je suis dans ceux qui s’amuse à tuer le plus rapidement ceux qui sont enlever d’Enkidiev et je suis sacrément doué ! Je ne propose JAMAIS mes services ma petite fée, comme l’empereur le dit je suis gentille… Profites-en pour ta survie ma belle, sinon tant pis pour toi.

Argawaen confirma de la tête, il est vrai que Tari à son habitude en aurait déjà fait son quatre heure, il était même sûr qu'elle se demander qu'elle goût avait une fée. Argawaen sourit légérement rien qu'à penser à ça cela le mette de bonne humeur, il la connaissait vraiment jusqu'au bout des ongles. Il en voulait autant avec Melerina mais pour ça il fallait pervertir son âme qu'elle devient aussi noir que celui de l4empereur qu'elle n'ait aucune pitiée pour les autres qu'elle tue sans aucun regret. Il attendant avec impatience que Melerina prenne la bonne déscision.

Mélérina senti les mains de l'empereur se reserrer autour de sa taille, elle pourrai d'envi de se laisser aller contre lui tellement elle se sentai faible mais se retint.

-Tu n'as pas le choix malheureusement, soit tu accepte et tout iras bien pour toi soit tu n'accepte pas et je te tue immédiatement. Cela ne sert à rien de faire languire la mort, qu'elle vienne te chercher dans quelques jours ou mainteannt cela reviens au même, elle t'auras.

Mélérina écouta les paroles de l'empereur puis se fut Tari qui parla

D’habitude, je suis dans ceux qui s’amuse à tuer le plus rapidement ceux qui sont enlever d’Enkidiev et je suis sacrément doué ! Je ne propose JAMAIS mes services ma petite fée, comme l’empereur le dit je suis gentille… Profites-en pour ta survie ma belle, sinon tant pis pour toi.

L'empereur confirma. Mélérina resta silencieuse tant que Tari ne fut pas parti puis lorsque la femme eut fermer la porte Mélérina prit la parole.

- Et bien tuer moi maintenant. Cette Tari ne m'inspire pas confiance, j'ai vue dans ses yeux qu'elle n'avait qu'une envi me manger alors personnellement je ne tiens pas a finir en repas. Maintenant si vous voullez me tuer maintenant faites le.

La jeune fée ne tenant plus car elle n'avait que très peu manger ces derniers jours finit par ce laisser aller contre le torse de l'Empereur. Peut être arriverait elle à l'adoucir, car sans le faite qu'il soit l'empereur noir Mélérina se sentait attirer irrémédiablement par cet homme mais elle ne deviendrait jamais senguinaire elle en était incapable. Elle attendait la mort presque avec soulagement. Mais elle doutait qu'il le face.

- Et bien tuer moi maintenant. Cette Tari ne m'inspire pas confiance, j'ai vue dans ses yeux qu'elle n'avait qu'une envi me manger alors personnellement je ne tiens pas a finir en repas. Maintenant si vous voullez me tuer maintenant faites le.

-Je ne te pensais pas ausis têtu mais puisque tu le demande.

Argawaen alla à sa grande commode au fond de sa chambre et en sorti une dague. Il s'avança vers Melerina lui tenant les cheveux et tira à l'arriére. Il sourit et l'embrassa tout en mettant la pointe de sa dague sous ça gorge. Cette fée a un cacractére bien trempé, tout comme Arga' aime. Mais il ne fallait pas qu'il faiblisse après tout il à montrer à tous qu'il était sanguinaire et sans scrupule. Elle devait changer son carcatére sinon il ne pourrait faire autrement que de la tuer. Puis il lui vint une autre idée que la mort une chose qui pourrait la hanté ses nuits. Car après la mort nous ne pouvons plus souffrir. Il jette sa dague à terre tellement fort qu'elle resta encrer dans le sol.

- J'ai changer d'avis je ne vais pas te tuer maintenant cela serai trop facile belle fée

Il lui caressa son dos de bas en haut l'embrassant dans le coup. Elle ne le connaissait pas et il pensait que rien qu'à savoir qu'il allait la caresser et consommer son mariage avant l'heure la dégouterai. Il l'amenna jusque devant le lit. Bien sûr tout ça été fait dans le seul but qu'elle accepte ce que Tari voulait, pour pas qu'elle ne meurt par la main de quelqu'un d'autre que lui.

- C'est ta derniére chance. Tari ne te fera aucun mal sans ma permission car elle sais que sa vie pourrait lui être retirer si elle me désobéisserait.

-Je ne te pensais pas ausis têtu mais puisque tu le demande.

Mélérina le vit se diriger vers la commode et prendre une dague dans le tiroir, son coeur s'acceléra mais elle ne faibli pas même si elle se sentait dejà faible. Il revint vers elle lui prit les cheveux et tira en arrière pour qu'elle leve la tête il sourit et l'embrassa elle frissona mais se baiser n'était pas désagrable bien au contraire. Il plaça en même temps la lame sous sa gorge et le contacte du metal sur sa peau la fit frémir. Il resta comme sa un moment puis soudain il jeta la dague si fort sur le sol qu'elle se planta en faisant sursauté la jeune fée.

- J'ai changer d'avis je ne vais pas te tuer maintenant cela serai trop facile belle fée

Il lui caressa le dos de haut en bas en faisant attention a ses ailes et la repoussa en même temps vers le lit tout en l'embrassant dans le cou. Mélérina essaya de le repousser mais il la tenait fermement. Puis il s'arreta et lui parla.

- C'est ta derniére chance. Tari ne te fera aucun mal sans ma permission car elle sais que sa vie pourrait lui être retirer si elle me désobéisserait.

- Je n'ai pas confiance en vous et encore moin en elle alors tuez moi sa sera plus simple pour tout le monde. Je ne vous obéirais pas, si vous voulliez une épouse docile vous vous êtes trompé de cible.

Mélérina plongea son regard turquoise dans ceux d'Argawaen et essaya de lire en son âme car souvent sa mère lui avait dit que les yeux étaient les fenêtres de l'âme. Mais elle ne décela que noirceur mais elle vit aussi une infime étincelle, elle se demanda ce qu'elle pouvait bien signifier.

- Je n'ai pas confiance en vous et encore moin en elle alors tuez moi sa sera plus simple pour tout le monde. Je ne vous obéirais pas, si vous voulliez une épouse docile vous vous êtes trompé de cible.

-Jespere que tu n'es pas toujours aussi fatiguante. J'imagine que tes parents sont très content de ne plus t'avoir dans les pattes.

Il continua son petit manége en la caressant. Il avait soudain une idée. Tari posséde la télèportation grâce à ses origines, elle pourrait peut-être accepte de l'enmenner là bas et permettre à la jeune fille de voir ses parents et de leur dire au revoir. Mais pour ça il fallait accepter de vivre ici sans rechinier, ni faire l'enfant.

-Je te propose un marché tu accepte l'aide de Tari et en echange je lui demanderai de t'enmenner voir tes parents pour que tu puisse leur dire aurevoir. Tari acceptera, je sais comment faire pour qu'elle dise oui. Sa je m'en occupe. Alors je suis pas gentil la ?

Argawaen se tena devant elle si elle disait oui il irait voir Tari immédiatement pour que cette discussion soit close. Il la regarda dans les yeux, des yeux où il pouvait facilement se perdre si il se laisser aller. Il detourna un moment les yeux d'elle pour ne pas flancher, il attendit une réponse de sa part positif si possible..

-Jespere que tu n'es pas toujours aussi fatiguante. J'imagine que tes parents sont très content de ne plus t'avoir dans les pattes.

Il continua a la caresser puis soudain il dut avoir une idée car il s'arrêta et la regarda droit dans les yeux.

-Je te propose un marché tu accepte l'aide de Tari et en echange je lui demanderai de t'enmenner voir tes parents pour que tu puisse leur dire aurevoir. Tari acceptera, je sais comment faire pour qu'elle dise oui. Sa je m'en occupe. Alors je suis pas gentil la ?

Aller voir ses parents pour leur dire au revoir? Mélérina sentit les larmes monter, elle fit tout pour les retenir mais elle avait beaucoup de mal. Une boulle se forma dans la gorge de la jeune demi fée.

- Pourquoi me voullez-vous tant auprès de vous... Vous avez votre Tari qui ferait une épouse parfaite, Pourquoi me faites vous ça... Pitier laisser moi partir...

En disant cela les larmes étaient monter et avaient rouler le long de son visage. Elle ne pouvait pas se résigner à dire Adieu a ses parents. Elle les aimait tellement. Elle ne voulait pas céder à l'Empereur mais c'était un combat de volonté et la jeune fée malgré son caractère têtu ne faisait pas le poids face à l'empereur qui avait l'habitude de tout obtenir en un claquement de doigt.

- Pourquoi me voullez-vous tant auprès de vous... Vous avez votre Tari qui ferait une épouse parfaite, Pourquoi me faites vous ça... Pitier laisser moi partir...

-Bien sûr que j'aurai pu demander à Tari mais je préfére qu'elle reste ma maitresse. Toi par contre tu es la douceur incarné et je pourrai grâce à ça obtenir la confiance mon peuple. En echange tu auras tout ce que tu veux, tout ce que tu désire. Des enfants, un royaume à gourverner à mes côté et pourquoi pas un poste important au sein de mes chevaliers.

Argawaen resta de marbre devant-elle. De toute façon elle n'avait pas le choix, il ne voualit pas la tuer mais il obtiendrai d'elle beaucoup plus. Il ferai tout pour qu'elle attende un enfant de lui. Un enfant qui refletera son pére, tout aussi sanguinaire que lui. D'ailleurs il y pensait déjà. Il la dévisagea de haut en bas, posant ses mains sur ces hanches.

-Bien sûr que j'aurai pu demander à Tari mais je préfére qu'elle reste ma maitresse. Toi par contre tu es la douceur incarné et je pourrai grâce à ça obtenir la confiance mon peuple. En echange tu auras tout ce que tu veux, tout ce que tu désire. Des enfants, un royaume à gourverner à mes côté et pourquoi pas un poste important au sein de mes chevaliers.

Il s'approcha d'elle et posa ses mains sur les hanches de la jeune fée. Elle baissa la tête, elle ne sut pas pourquoi le faites d'entendre qu'il allait garder Tari comme maitresse même en l'ayant elle lui avait serrer le coeur. Elle se deguagea de l'emprise de l'Empereur et alla s'assoir sur l'un des fauteuils de la chambre.

- Je ne veux rien de tout cela, me prenez vous pour l'une de ses femmes futiles et vénal qui vous entour habituellement? Avant que vous ne m'enleviez on reve était de me marié avec un homme qui m'aimerait sincerement eet avec qui j'aurai fonder une famille. Mais vous vous ne voullez de moi que pour se que je pourrais vous apporter. Faites dont ce que vous voullez je suis las de tout cela.

Mélérina était fatiguer, elle savait que jamais elle ne retournerai chez elle et elle préferai ne pas y retourner pour dire adieu a ses parents, pour leurs dire quoi de toute facon... " Bonjour papa et maman je viens vous dire adieu je retourne avec l'empereur noir qui veu me forcer a l'épouser..." autant croir qu'elle avait disparu au pire elle leur enverai une misive pour leur dire que tout allait bien. Elle prit sa tête entre ses mains et soupira. Elle était encore plus intriguer par la lueur blanche qui entourait l'empereur et se demandait se que cela pouvait être.

- Je ne veux rien de tout cela, me prenez vous pour l'une de ses femmes futiles et vénal qui vous entour habituellement? Avant que vous ne m'enleviez on reve était de me marié avec un homme qui m'aimerait sincerement eet avec qui j'aurai fonder une famille. Mais vous vous ne voullez de moi que pour se que je pourrais vous apporter. Faites dont ce que vous voullez je suis las de tout cela

-Bien sûr que j de toi pour mon intêret, je penses à moi et à toutes les opportunités qui s'ouvriront quand tu deviendra ma femme, et que tu me donnera un heritier. Et aussi quand j'attaquerer ton royaume et y tuerai tout le monde y comprit tes parents. Je t'y enmennerai pour qu'il voyent ton visage avant de rendre l'âme, ils croiront que tu tes liguer avec moi pour les tuer.

Argawaen l'embrassa de nouveau et la fit tomber sur le lit. Il allait la laisser seule quelques instant, pour réfléchir à tout cela. Après tout en quelques jours beaucoup de chose lui était arrivée, un enmlevement, séquestration, elle devait se mariée par la contrainte et obliger à porter ses enfants dans l'avenir. Il la regarda de nouveau ce visage triste lui resta gravé dans sa mémoire, il l'aimait mais si il lui disait elle n'aller surement pas la croire loin de là.

-Bien sûr que j de toi pour mon intêret, je penses à moi et à toutes les opportunités qui s'ouvriront quand tu deviendra ma femme, et que tu me donnera un heritier. Et aussi quand j'attaquerer ton royaume et y tuerai tout le monde y comprit tes parents. Je t'y enmennerai pour qu'il voyent ton visage avant de rendre l'âme, ils croiront que tu tes liguer avec moi pour les tuer.

Mélérina le fusilla du regard quand il l'embrassa et la poussa sur le lit ou elle tomba. Sa réponse ne se fit pas attendre.

- Si vous tuer mes parents je ne vous donnerais jamais d'héritier! Vous me dégoutez!!!! Je ferais de votre vie un enfer si jamais vous osez toucher un seul cheveux de ma famille ou de mes amis!!!

Mélérina était furieuse, encore épouser l'Empereur noir n'était pas insurmontable, lui donner des enfants non plus car elle se sentait attirer par lui d'une manière assez étrange. Mais si il touchait a ses parents elle ferait tout pour perdre les enfants si elle venait à être enceinte et elle se laisserai mourir afin de lui faire payer ce geste! Des larmes de rages roulèrent sur ses joues. Elle tremblait de tout son corps tellement elle était furieuse. Elle le regardait droit dans les yeux pour qu'il fixe son visage dans sa mémoire mais elle doutait que cela lui importe.

- Si vous tuer mes parents je ne vous donnerais jamais d'héritier! Vous me dégoutez!!!! Je ferais de votre vie un enfer si jamais vous osez toucher un seul cheveux de ma famille ou de mes amis!!!

Argawaen venait de toucher la corde sensible de sa belle, sa famille. Argawaen avait décidé de ne pas faire cela maintenant qu'il savait comment la tenir, il lui ferait peur avec ça pour optenir gain de cause. La jolie fée était allongé sur le lit des larmes sur ses joues, cela ne le toucha pas. Il voulait lui voler sa première nuit maintenant mais il n'aurait eut aucun plaisir dans l'état où elle était. Il prit une veste à lui, de couleur noir et entre-ouvrit la porte.

- Très bien pour le moment je n'en ferai rien, mais tiens toi à carreaux. Je ne te laisse plus le choix, Tari viendra te chercher à la première heure demain matin, si j'apprends que tu n'es pas avec elle, je te donne à mes soldat qui feront ce qu'ils voudront de toi.

Argawaen ouvrit grand la porte et parti en la ferma à clef.

Tari avait sentie au plus profond d'elle la fin de cette discutions et lorsqu'elle était sorti de la chambre elle n'était pas partie. La jeune déesse s'était cachée sous son camouflage pour d'être perçu de personne que sa soit par un simple soldat ou un chevalier. Il fallait savoir être très prudente à Irianeth, un seul instant a baisse sa garde et sa vie pouvait s'envoler... Combien de vie avait-t-elle enlever comme cela un moment de repos et hop sa lame qui s’enfonçait profondément dans la chair tendre d'un homme ou d'une femme. Les secondes ou elle devait patiente fit bouillonnait son sang de tigre, elle n'aimait pas attendre sauf si s'était pour une bonne cause. Les instants d'après l'empereur sorti de ses appartement tout en restant toujours invisible et penetra dans la chambre d'Argawaen. Tari se positionna devant la jeune fée frêle allonger sur lit et elle tendit sa main vers elle en se rendant de nouveau visible et faisant résonne sa voix dans l'air :

-Tu sais tu as eu de la chance Mélérina... Ses habitudes sont dures et pourtant il ne t'a rien fait mais, si tu reste comme ça... Il a dut te le demander j'en suis sur, il ne résistera pas à ta chair blanche et pure très longtemps. Viens avec moi et tu pourras avoir une nuit tranquille.

La femme chevalier se tut sa main toujours tendue vers l'Enkidiev, en plongeant son regard le plus serein dans celui de la fée. Il lui fallu quelques secondes, pour se dire que la confiance de l'empereur dans ses compétences pour la protéger et autre, ne l'avait sans doute pas rassure si ce n'était le contraire, alors elle reprit la parole et lui dit :

-Je te jure que je ne ferai pas de mal tant que tu ne voudras pas faire quelques choses contre moi.

La déesse lui sourit très légèrement et repris la parole la seconde plus tard :

-Je te répondrais à toutes tes questions, pensées, doutes ou autre, sans mensonges, si tu le souhaite.

Tari se sentait mal alaise dans ses paroles mais elle n'avait qu'une parole et puis si elle reste seul sa première nuit, soit l'empereur reviendrais soit un soldat assez fou en finirai avec elle, sa vie pouvait être courte de quelques heures ou plus.

- Très bien pour le moment je n'en ferai rien, mais tiens toi à carreaux. Je ne te laisse plus le choix, Tari viendra te chercher à la première heure demain matin, si j'apprends que tu n'es pas avec elle, je te donne à mes soldats qui feront ce qu'ils voudront de toi.

Mélérina le vit sortir et elle fut soulagée, elle allait laisser libre cour a sa tristesse lorsqu'elle vit Tari apparaitre devant elle et lui tendant la main.

-Tu sais tu as eu de la chance Mélérina... Ses habitudes sont dures et pourtant il ne t'a rien fait mais, si tu reste comme ça... Il a dut te le demander j'en suis sur, il ne résistera pas à ta chair blanche et pure très longtemps. Viens avec moi et tu pourras avoir une nuit tranquille.

* Ils se sont donner le mot pour que personnes ne me laisse tranquille.*

-Je te jure que je ne ferai pas de mal tant que tu ne voudras pas faire quelques choses contre moi.

Puis elle reprit à nouveau.

-Je répondrais à toutes tes questions, pensées, doutes ou autre, sans mensonges, si tu le souhaite.

- Très bien alors premièrement pourquoi tiens tu tant à se que je vienne avec toi? Deuxièment pourquoi l'Empereur ma prise moi? et dernièrement il ne viendra pas vers moi si comme je l'ai compris tu l'occupais toute la nuit étant donner que tu es sa maitresse. Au moin il me laisserait tranquille.

Mélérina commençait à être bout de passience et elle souhaitait dormir et si elle devait mourir pendant son sommeil et bien qu'il en soit ainsi car elle ne souhaitait pas vivre sur se continent, encore moin épouser l'Empereur noir. Elle attendit la réponse de Tari tout en se demandant bien pourquoi elle lui accordait tant d'importance si comme il l'a dit elle était plutôt du genre sans pitier.

Tari fini par baisse sa main, cela ne servait à rien elle n’allait sans douter pas vouloir la toucher ou même s’approcher d’elle sans avoir une distance de sécurité. Il fallut peu de temps à la petite fée avant que celle-ci prend la parole de sa voix musicale. La femme chevalier écouta bien chaque mot de Mélérina afin de mieux répondre à ses questions ou toutes choses qu’elle allait dire. Une fois qu’elle eu fini, Tari la laissa se calme un peu et arrive à sentir sa fatigué et sa colère monter en puissance puis elle lui répondit d’une voix neutre en faisant disparaitre son sourire.

-Je suppose qu’un parce que ne te suffira pas ? Pourquoi, simplement que je m’ennui et m’occupe de toi me permettra de m’amuser un peu avec les hommes du château. Tu ne peux pas imaginer à quel point ils se laissent poussés par leurs désirs et donc je risque de beaucoup te défendre au début…

La déesse réfléchit à la deuxième question pourquoi elle ? Elle se tourna vers la porte et lui dit :

-Je suis incapable de dire pourquoi il ta choisi toi et non une autre, peut être que tu as quelque chose qui lui plait. En tout cas, les caractères forts il aime cela et à première vue, tu en as un. Sinon ta dernière pensée me fait rire mais, ce soir et dans le prochain jour il préféra que sa soit toi dans ton lit et ses maîtresses auront la tranquillité… Donc si tu es toute laisse, tu n’aura en aucun cas la paix que tu souhaite.

La femme chevalier sentie encore de la méfiance dans l’esprit, elle eu l’idée de l’endormir sur le champ et de l’emmène sans que personne ne les voit et qu’elle puisse se reposer réellement toute la nuit mais, Mélérina risquait de mal le prendre et décida donc d’utiliser cette idée en dernier recours. Tari se tourna vers la petite fée et lui dit :

-Veux-tu savoir autre chose, me demande quelque chose ou pouvons nous y aller avant que Argawaen revient ?

» De grès ou de force.... Partie 1 ( Terminé)