Nom: Crinièredor
Prénom: Aegan
Surnom: Chevalier Félin
Âge: 21ans
Race: Pardusse
Fonctions: Chevalier d’Émeraude
Royaume de naissance: Pardue
Royaume actuel: Émeraude
Description psychologique:Les contes de fée sont souvent les même dans le font, une innocente en danger secourut par son âme-sœur avant que les ténèbres ne l'emportent, et finalement vivent heureux jusqu'à la fin de leur vie. Ces contes, je n'y ai jamais crut, je les déteste même, il faut lever la tête pour avancer, la douleur et la hargne son primordiales pour continuer d'avancer. L'avenir se forge dans la sueur et le sang qui pulse dans nos têtes, tel les tambours de guerre. Les illusions n'ont pas leur place dans un monde où seul compte la survie.
Un cœur généreux, sensible, n'éprouvant que compassion, et pitié envers ceux qui ont besoin de l'être. C'est en soit que réside la force et la puissance, le travail, la persévérance, l'entrainement, les combats. Ne pas fléchir et continuer d'avancer toujours plus loin. Les faibles ne seront pas laissé derrière, aux prédateurs qui se régaleront de leur chaire. C'est cette illusion qu'il faut combattre, les faibles seul ne peuvent rien, mais unis peuvent beaucoup.
Tuer rend plus fort, les meilleurs techniques nous sont transmissent par les vainqueurs, ils écrivent l'histoire, la façonne comme bon leur semble, se donnant le rôle de sauveur alors qu'ils sont bien souvent les tyrans, ceci doit changer. Dans ce monde, il faut prendre garde, de nos ennemis nous en remettre à nos amis. La trahison d'un être chère est bien plus terrible que celle d'un simple allié, mais la confiance en vaut la peine. Alors il ne faut point s'attacher à des règles futiles, suivre les sentiments et son coeur montre la voie. Pourtant, tout ceci est bien difficile. Le désire de trouver quelqu'un avec qui partager nos moments est si fort. Une faiblesse qui peut paraître si douce, si apaisante. On voudrait s'y glisser d'une manière infime et si soulageant. Un désire qui peut très vite devenir une torture. Mais cette faiblesse pourrait bien un jour devenir la plus redoutable des forces.
Peut-être sommes nous des faibles, peut-être que prendre soin des autres est pour moi une manière de fuir ce que je ressens en moi. Pourtant je ne peux m'empêcher de venir en aide à ceux dans le besoin. Je serai le gardien qui les protège du mal, donnant mon coeur et mon âme aux innocents.
Je suis peut-être naïf, mais je suis convaincu qu'une noble cause vaut toujours la peine d'être soutenue. J'espère simplement que la rage qui m'habite finira bientôt par s'apaiser, car je sens au fond de moi l'appel du sang, celui des miens qui réclame vengeance.
Description physique:Corps de la terre mère, en toi repose la grâce de toute vie et de toute mort, l'on nait de ton sein et l'on y retourne au moment de notre mort. De ta couleur caressée par le soleil, tu offre un spectacle aux courbes généreuses, nu et naturel, il ne dispose d'aucun artifice, pas même ces marques sanglantes que tu portes, se dessinant sur cette douce contrée à l'allure si féline.
Ton minois aux bijoux célestes ne sont que magnifiques topazes, pierres qui pourtant possède toujours des impuretés, tu parviens toi à offrir une vision de rêve dont l'impureté n'est que le reflet de ton âme tourmentée de mélancolies. Une cascade fertile descendant le long des plaines dorsales, reflétant l'astre d'or avec une aisance stupéfiante. Bestiale et sauvage, ta beauté reste exotique, jamais de n'importe quelle existence, l'on ne pourrait trouver pareil splendeur exotique.
La terre pulmonaire, à la surface de ton cœur, tes montagnes puissantes ne sont que pur fantaisies d'un dieu artiste et forgeron. Une queux comme nombre d'astres véloces, porteurs de chance et faiseurs de vœux, mais dont l'abondance ne résume que la chaleur qu'elle procure.
Pourtant, malgré ce divin paysage, la perfection laisse place à la peur et l'inquiétude. Un paysage de fantasme qui laisse place à une conjuration de cauchemar. Une beauté si pur et parfaite, pourtant faite par le sang et la chaire ne peut être qu'une œuvre pécheresse et diabolique. Une bête de plus de deux mètres, véritable engin de mort de par ses griffes et ses crocs.
Armes: Aegan utilise une arme du peuple pardusse. Elle ressemble étonnamment aux armes du peuple du désert à la différence près qu'il s'agit de lames courbes.
Pouvoirs: Aegan utilise les pouvoirs qu'il découvrit lorsqu'il était encore jeune. Sa magie se base avant tout sur la guérison et la protection de ses alliés.
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Télépathie: Lui permet de communiqué avec les autres personnes.
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Lévitation: Permet de déplacer des objets par la pensée.
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Rayon incendiaire blanc: De couleur blancs, ses rayons incendiaire ne brûlent pas, ils coupent.
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Soin: Sans doute le poing fort d'Aegan. Il est un grand guérisseur et privilégie avant tout ce pouvoir.
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Barrière de protection: Ce pouvoir permet à Aegan de protéger ses alliés en les entourant d'une aura de protection contre les attaques.
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Rage Sacrée: Sans doute le pouvoir qu'Aegan utilise le moins et déteste le plus et pour cause. Il a découvert ce don lorsque sa rage prit le dessus. Ce pouvoir transforme le ciel en un grand ciel blanc pur soutenu par une colonne émanant d'Aegan. Le pardusse se retrouve alors submergé par la rage des siens et voit sa force brute augmenter au point de le rendre physiquement capable de briser le roc ou fendre le sol avec la force de ses poings. Il perd cependant la capacité d'utiliser toutes autres magies. Aegan ne contrôle pas ce pouvoir, celui-ci ne s’enclenche que lorsque le pardusse est fou de rage, alors les âmes des pardusses hurlant vengeance face à ceux qui ont massacré leur peuple se manifestent et entre en Aegan.
Histoire:Les pardusses avaient aider les peuples d'enkidiev, combattant contre Irianeth en attendant que le nouvel ordre des chevaliers d'Émeraude puisse voir le jour. Cinq ans de guerre pendant lesquels les pardusses perdirent beaucoup avant d'être finalement repoussé avec d'aide d'alliés, se repliant vers les montagnes, qui séparaient Pardue de rubis et Opale. Le lourd tribu payé par les pardusses ne fut jamais dédommagé. Pas même un simple merci, alors que le peuple félin c'était mit à airer à travers les montagnes, trouvant une prophétie.
Le sang versé sera racheté
Par notre rage la plus sacrée
L'un des nôtres sera envoyé
Pour prendre part en guerrier
Mais aussi en tant que mage
Il semblera des plus sages
Pourtant son cœur souffre
Son âme reste dans l'ombre
Il incarne la lumière sacrée
Par ses actions désintéressées
Portant en lui notre grande rage
Il sera pour l'ennemi carnage
Sa générosité sera abondance
Sa colère déclenchera sentence
Dans cette guerre d'existence
Il sera notre Khan'Ence
Tel furent les mots prononcés par notre dernier grand sage alors que la flamme qui animait sa vie perdait de son éclat. Aujourd'hui encore je me pause la question de savoir si les humains sont réellement si indifférent à la détresse de mon peuple. Je pense surtout qu'ils sont effrayés par la guerre et qu'ils se préparent au mieux. Au font, je suis convaincu qu'ils nous sont reconnaissant et finiront à la fin de cette terrible guerre.
Je me sens encore hanté par les cauchemars de cette nuit. Nous étions en pardue de l'autre coté des montagnes. Mais Irianeth avait dépêché une embarcation en passant par Shola, pour se rendre en Pardue. Nous fûmes surpris de voir les forces ennemis débarqué, mais nous comprirent bien vite qu'il était devenu très facile pour eux de se rendre en Pardue maintenant qu'ils possédait le nord d'Enkidiev, mais nous comprimes aussi qu'ils étaient venu nous massacrer pour deux raisons. Nous étions des alliés d'Émeraude, et notre pays servait de position stratégique pour prendre Enkidiev sur deux flans. Ils nous ont laissé deux choix, servir l'empereur ou mourir pour Enkidiev.
Les pardusses ont des défauts, mais nos ne sommes pas des lâches, et encore moins de traîtres. Les habitants d'Enkidiev étaient devenues nos alliés et nos amis, alors nous nous battrons jusqu'à la mort pour les soutenir. Et la mort vint nous cueillir dans ses bras, à cause des sorciers venue eux aussi, car mon peuple ne possédait, en dehors de quelques chamans, aucun magicien, il fut donc aisé pour leurs sorciers de nous affaiblir avec leurs maléfices. Je n'avais que seize ans, mais je me rappelais de cette journée, nous en sortîmes victorieux mais nos pertes étaient lourdes. Seulement Enkidiev allait être attaquée, et les chevaliers d'Emeraude n'était pas encore formés. Alors Zarash le chef du clan, et mon frère réunis les guerriers les plus aguerris pour faire route vers les plages d'Enkidiev et aider les humains à repousser l'assaut des hommes insectes.
Cette nuit d'horreur, mon frère perdit la vie, et l'ennemi piétina son cadavre. Mon peuple avait payé si chère sa première bataille, et maintenant il payait celle-ci. Je priais pour que les futurs chevaliers arrivent très vite, car mon peuple ne tiendrais plus très longtemps. Les cris de douleurs et d'agonies étaient insupportable. Nous perdions du terrains et certains civils se faisaient attaquer. C'en était trop j'étais un guérisseur dans mon clan, pas un guerrier, mais ce spectacle était si atroce. Des enfants se blottissant dans les bras de leurs mères, nos guerriers tombant pour protéger un peuple ami. Pourquoi les dieux ne faisaient rien? N'en avaient-ils rien à faire de leurs fidèles? Pourquoi? Pourquoi ces guerres? Simplement pour le plaisir d'avoir du pouvoir?
Je commençais à évacuer les villageois lorsque je vie une femme portant son nourrisson se fait tuer par un ennemi avec l'enfant qu'elle portait dans les bras. A la vue de cet horrible spectacle mon sang se figea et ma rage explosa. Je n'entendais plus que le rugissement de ma propre voix hurlant, « Pourquoi? ».
Nous finîmes par repousser l'envahisseur, pour ma part je m'écroulais à genoux en observant le champ de cadavre. Tout ceci pour satisfaire l'égo d'une unique personne. Dans la bataille, j'ai perdu mon œil gauche, ne me laissant qu'une balafre de l'arcade jusqu'à la joue. La seule chose qui m'apporte du réconfort, c'est le visage de ceux que nous avons put sauver.
J'ai murement réfléchit à l'histoire du Khan'Ence. Cette rage que j'avais ressentit, je veux m'en purger. J'ai donc décider de quitter les miens et de faire route pour Emeraude pour rejoindre les chevaliers. Que la sagesse de l'ancien me guide dans ma voie parsemée de colère.
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