Quand on na un ptit creux ( pv Miku)

Pour une fois je ne me bat plus avec mon lit, bah oui d'habitude j'envoie voler ma couette et la rien, je ne bouge pas. C'est étrange, je ne suis pas morte tous de même, non ce n'est pas ça.
Je sourie dans mon sommeil, non la reponse à mon calme se trouve ailleur, dans le monde des rêves, enfin dans ce qui est pour moi le monde des rêves car pour une autre personne il s'agirait davantage du monde des cauchemard. Pour moi il s'agit simplement d'un lieu ou règne la mort et la souffrance, u. endroit ou les mur et le sol sont recouvert de sang, ou des cadavres charcutter gisent partout, formant de ça et la des petites monyagnes de viande en putrifaction. Un endroit où la seul musique est celle des torturés qui hurlent à la mort de venir les chercher. Ce monde me plait énormement car ici la mort n'est autre que moi, ici le sang souille mon visage si blanc, mais je n'en ai que faire, je m'assis et j'écoute paisiblement l'hymne à la mort de ces ame torturé qui réclame le repos éternel.

Lorsque je me reveilla j'étais de bonne humeur, je sauta de mon lit et la je m'apperçu que le soleil ne m'avait pas vraiment suivit et que la lune était encore présente dans le ciel, je jura, bon tant pis je ne chercha pas davantage, j'allais profiter de ce calme, mais voyons que pourrais je faire. Bon commençons par faire étape aux bains je réfléchirais à ma journée la bas. Et comme à mon habitude lorsque la forteresse était encore endormie, je sortie de mon alvéol.....complétement nu, et je me dirigea vers les bains, après m'être prélassé dans l'eau je me laissa un peu sécher puis je retourna dans mon alvéol, la encore j'étais nu, on ne change pas les bonne habitude et les garde on l'air parfaitement d'accord avec sur ce point.
Je mis ma robe blanche habituel, bustiere, moulante et surtout on avait l'impression que je m'étais fait griffer, une fois habiller je me dirigea vers les cuisines impérial, j'avais senti la présence de Béhémoth, l'un des frères d'armes, un belle homme bien batti. Il était attablé, je m'approcha doucement derrière lui mais il me senti arriver et pris la parole, je l'écouta puis un sourire en coin se dessina sur mes lèvres.

-Bonsoir. Pour répondre à ta question je dirais que j'ai faim.....d'un peu des deux, enfin surtout de la deuxième option.

Je marcha jusqu'a lui, m'arretant derrière lui, je posa mes mains sur ses épaules et les fit lentement glisser sur son torse nu, j'approcha mes lèvres de son oreilles et y murmura quelques mots.

-En faite en se qui concerne la seconde option je suis plutôt affamé.

Je me redressa doucement, laissant ma mains s'attarder sur sa joue j'allas chercher un verre et pris la bouteille de vin qui était sur la table, je me servis un verre et le sirotta tranquillement en regardant Béhémoth.

Je ne vis pas le visage de mon frère d'arme virer au rouge tomate, dommage je pense que j'aurais profité de son trouble, mais la je n'avais rien vue, je ne voyais qu'un homme froid. Je sourie à sa première phrase, oui il y avait de quoi les plaindres, d'autant plus que je ne suis pas clémente avec eux.

-Je te remercie. Et en effet il y a de quoi les plaindre, mes premiers cadavres remonte à l'époque où j'avais 6 ans, quatre enfants qui passer leur temps à m'embété, des paysans qui osaient s'en prendre à leur princesse, je les ai tous bonnement tué lors d'une folie sanguinaire, dommage pour eux.

J'avais dit ça sur un ton joyeux, raconter cet évenement marquant de mon passé venait de me rendre encore plus joyeuse que je ne l'étais déjà. Je me reservie un verre de vin et le sirotta toute en me perdant dans mes pensées, enfin je revoyais davantage les cadavres charcutté des enfants. Ses condoléances me sortir de ma comtemplation intérieur, un voile de tristesse passa dans mon regard, Carath, je dois avouer qu'il me manque parfois. Je hocha la tête pour le remercier. Carath m'avait façonné à l'image qu'il se faisait de sa femme parfaite, mais il n'avait pas eu le temps de finir ses plans, il était mort avant d'avoir pu m'épouser, cela me rassur autant que ça m'attriste, oh je ne dit pas que je ne l'aimais pas mais maintenant que j'y pense il y a plein d'homme interéssant à la forteresse.

Je le regarda prendre une poingné de raisin et les manger, son regard sur moi me flatta, le rouge qui monté sur ses joues ne m'échappa pas cette fois, je deposa mon verre sur la table et m'approcha de lui, féline, Je l'écouta toute en avançant vers lui, une fois à coté je placa mon visage à quelques centimètre du sien et juste au moment ou il mettait un grain de raisin dans sa bouche j'allas lui piquer, ma langue glissa légèrement sur sa lèvre inférieur. Puis je plongea mon regard dans le sien.

-En faite il me suffit de dire à un garde de venir dormir dans mon lit, pour que ma couche soit pleine, inutile de faire tous pour en avoir.

Je lui sourie et plaça doucement ma mains sous son menton.

-Et toi je te vois rarement en compagnie d'une femme mise à part Tari, peut être préfére tu celle d'un homme, ce que je comprendrais bien que je trouverais cela dommage qu'un aussi belle homme préfère avoir un male dans son lit. Mais tu fait comme tu veut, après tout cela ne me regarde pas.

Je laissa ma mains s'attarder sur sa joue puis je m'éloigna, reprenant mon verre je fini de le sirotter puis j'alla prendre une pomme et croqua dedans tournant le dos à Béhémoth.

Des qu'il m'appela "ma belle" je me tourna légèrement étonné, trés peu c'était risquer à m'appeler ainsi, étant mon frère d'arme je ne lui en tint pas rigueur mais cela m'étonné d'autant plus que c'était la premiere qui m'appeler ainsi, mais je me ressési rapidement. Bon apparemt je l'ai vexé, je ne voulais pas être méchante avec lui, je le regarda serrer les mains.

-eh oh du calme, d'abord je ne baise pas avec tous ce qui bouge, même si j'avoue aimais ça, de plus je suis désoler si je t'ai véxé ce n'est pas ce que je voulais. Je ne suis pas la pour te juger.

Je disais vrais, je n'avais pas voulus le blésser. J'allas m'asseoir sur la table et pris une grape de raisin, je mangea les grains lentement et un par un, je le regarda s'approcher de moi, son visage était si prés du mien que je pouvais sentir son souffle sur mon visage, son odeur dégagait quelque chose de particulier mais surtout particulierement dangereux, et ce n'était pas pour me déplaire. Il pris de nouveau la parole, j'écarquilla les yeux tant j'étais étonné, j'ai un peu de mal à concevoir qu'on avoir peur de faire l'amour, mais dans un autre sens je ne connais pas vraiment son histoire, je secoua la tête pour me ressésir et je le regarda s'éloigner et me tournant le dos, il repris la parole et la je compris d'où venait sa peur. C'est vrais que l'ancien empereur était un peu fou, un peu beaucoup enfaite. J'aurais trés bien pu finir comme Béhémoth, et devenir son objet sexuel mais Carath avait été le bras droit de cet empreur et étant sous sa protection j'avais été sauvé.

Je descendis de la table avec légèreter et m'avança vers mon frère d'arme, lorsque je fus près de lui je colla mon corps contre son dos et l'enlassa avec douceur, bon sang ce qu'il est grand.

-Je ne voulais pas te faire de mal, pardonne moi mon frère, je ne me moquerais pas de toi, je comprend maintenant ta peur.

Je le lacha et me placa devant lui, j'essuya doucement les larmes qui coulaient sur son visage, son enfance n'avait pas été facile. Je pris sa tête en la baissant un pej et me issant sur la pointe des pieds je déposa un baiser sur son front.

-Aujourd'hui tu n'a plus à avoir peur, lorsque tu le fait montre à ta partenaire qui est le dominant, des lors si elle est intélligente elle sera comment agir pour te faire oublier quelques heures ton passé et tu aura déjà moins peur.

Je lui caressa doucement la joue, non il n'avait plus à avoir peur.

]Je senti ses mains sur mes épaules, je ne savais pas vraiment ce qu'il voulait mais je ne taeda pas à avoir la reponse, il se raprocha davantage déposant un baiser timide sur mes lèvres et pour une raison que je ne saurais expliquer les battement de mon coeur s'accélérèrent, je le senti allait jusqu'à mon oreille et me mordiller le lobe, je le laissa faire, si il voulait m'exiter c'était reussi. J'eu un petit soupire, lorsqu'il se recula et me sourie timidement. J'équarquilla les yeux lorsqu'il me dit que c'était son premièr baiser, impossible qu'un aussi bel homme n'est jamais embrasser une femme, je me ressaisi rapidement et lui sourie à mon tour.

-Deçu? .....je te dirais si je le suis demain matin.

J'eu un sourire provoquateur à mon tour.

-Il n'y a pas d'homme ou de femme facile, juste des personnes libres qui profite chaque instant de leur vie si courte.

Je le regarda un sourire espiegle au lèvres, puis il pris la parole deux fois. Je ne pus m'empêcher de rire. On vois qu'il ne sait pas que rien ne me gêne.

-Tu sais lorsque je suis dans la salle de torture il y a toujours un garde avec moi, et comme le sang m'excite, je fais souvent ça au millieu de cadavre ou de personne à moitier morte, alors le faire dans les cuisine ne me gêne pas. Mais je ne peut pas refuser ta proposition.

Je le suivis jusque dans sa chambre, il me laissa entré en première et je le remercia de sa galanterie. Je le suivis du regard puis il me posa une question simple, j'aquiéssa puis j'avança vers lui, je me demande bien comment va se passer le reste de la nuit. Je grimpa sur le lit et enfourcha Béhémoth en remonta ma robe jusqu'au hanche, puis je me baissa et déposa plusieur baiser brulant sur son cou, remontant jusqu'a son oreille j'y murmura quelques mots.

-En faite ce n'est pas tant la chambre qui me plait mais l'homme qui y séjourne.

Je laissa mes mains se balader sur son torse toute en lui offrant un sourire des plus provoquateur. Je déposa de ça et la des baisers sur son torse musclé, donnant de temps à autre des coup de langue. Puis je l'embrassa avec envie.

-Je vais te faire oublier ta peur,

Et avant qu'il ne puisse répliquer quoique se soit je l'embrassa de nouveau en glissant ma main dans ses cheveux avec douceur. Puis je lui retira son pantalon laissant mes mains caresser sa virilité, oh oui je compter bien lui faire oublier sa peur, au moins pour cette nuit.